C'est la fin du week-end et, comme vous avez été sages, ce n'est pas une mais deux coquineries que je vous propose. nous parlerons d'abord de la "petite gâterie", puis nous partirons à la découverte de pratiques et détails...surprenants!
La gâterie d'abord. Savez-vous qu'aux Etats-Unis, la fellation n'est autorisée que dans six états? Et la "pipe cambodgienne", vous connaissez? Non? Alors apprenez que c'est une fellation réalisée avec du thé chaud dans la bouche.
Toujours la fellation... Ce n'était guère le plat préféré des Babyloniennes. Elles risquaient en effet d'avoir les yeux crevés si elles endommageaient le sexe d'un homme.
Et pour en finir avec ce châpitre ô combien bucal, sachez qu'au bagne de Cayenne, las de se masturber, les plus souples des prisonniers s'occupaient eux mêmes de leur sexe...
Venons en à présent aux pratiques sexuelles "originales". Par exemple, en 1819 à Paris, un fétichiste terrorisa la bourgeoisie en piquant les fesses de ces dames avec une épingle. Et, c'est résolument authentique, un armurier s'inspira de cette habitude pour inventer le protège-fesses.
Dans la culture niponne, une légère claudication est très excitante. C'est ainsi que, pour séduire, les jeunes filles apprenaient à boiter.
D'après un explorateur britannique du XIXe, en Somalie, les hommes alignaient les femmes côte à côte et choisissaient pour épouse celle dont les fesses dépassaient.
Enfin, et c'est toujours de la plus haute véracité, les étudiantes japonaises arrondissent leurs fins de mois en vendant leurs petites culottes souillées dans les sex-shops. Très recherchés et très "prisés", ces dessous peuvent même se trouver aujourd'hui dans des distributeurs automatiques.
A demain pour de nouvelles coquineries !
Thierry Cayol