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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 13:37

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A Madame Le Pen, grande "pourchasseuse" de prières de rues,

 

Qu'attendez-vous pour demander aux autorités compétentes le renvoi dans leurs foyers de tous ces fauteurs de "trouble à l'ordre public" , toutes ces "prières de rues" si inconfortables aux français-bons-chrétiens-blancs-et-tout-et-tout... 

 

Celles des "anti-tout" et surtout homophobes et racistes, aux relents fascisants de ce bon vieux KKK , que vous ne semblez même pas apercevoir !

  

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Comme vous avez ameuté la terre entière pour chasser des hommes qui priaient où ils pouvaient faute de lieux de culte.

 

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Alors, deux poids, deux mesures ?

 

 

 

 

La poulette déchainée

 

 

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21 avril 2013 7 21 /04 /avril /2013 14:00

la-poulette-dechainee.gif

 

La Barjot surnommée "la papiste destroy" par le journal " Le Monde ",

 

frigi1.jpg

                                                           il y a peu...

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                                                          et maintenant ...

 

conseille a ses moutons de se la faire un peu peuple mais pas trop, on ne sait jamais si les voyous d'en face venaient leur arracher leurs bijoux ou voler leur carré Hermès...hihihihihiihihi..cri d'effroi).quelle horreur ! Alors elle a établi un dress code que voici : 

 

 

-"Dress Code à respecter : bleu, blanc, rose, jeans, baskets, cuirs, rollers, poussettes, ballons…
 
Les « trucs en plus » de Frigide Barjot
Pour Madame :  cheveux lâchés négligemment chiffonnés,  soutien-gorges pigeonnants, carrés Hermès et serre-tête prohibés.
Pour Monsieur : barbenaissante obligatoire, raie sur le côté et pochettes Sulka oubliées. Chevalière autorisée uniquement en perfecto.
Pour les enfants :  Cyrillus s’abstenir.
Pour les ados :  comme d’habitude, avec des trous conseillés en plus dans le jean.
 

Vivent la paix, la démocratie et l’union civile !
 
Paris, le 21 avril 2013-"

 

Quant à la Béatrice Bourges, la "leaderchip" des ultras-extrémes-cathos-fachos...

 

Elle préfère se la jouer "chef de faction" du Printemps français ! avec ses chers amis, les jeunesses identitaires, les étudiants extrémistes du GUD (Groupe Union Défense) et les croisés intégristes de Civitas, elle a comme des allures de femme de dictateur non ?

 

 

beatrice-bourges.jpg

                                                           la "factionnista" ...

 

Tout cela est surréaliste je vous l'accorde, mais terriblement flippant !

 

 

La poulette déchaînée.

 

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 16:08

Ivo Andric a 28 ans en 1920 lorsqu'il est nommé à l'ambassade du Royaume des Serbes, des Croates et Slovènes auprès du Vatican. Ainsi va-t-il vivre de l'intérieur l'atmosphère insurrectionnelle et le chaos qui règnent en Italie, puis la montée inexorable et violente de la réaction. Il s'en fera l'écho dans "la révolution fasciste", publié à Zagreb en 1923.

 

Plus tard, deux séjours en Italie confortent Andric dans son apréhension du fascisme. Ses nouvelles affectations hors d'Italie ne l'empêcheront pas de suivre pas à pas l'expansion de la dictature mussolinienne, qu'il décrit dans six textes. Dans le dernier de ceux-ci, il évoque le cas de la Bulgarie, qui semble alors s'engager sur la voie de l'Italie fasciste.

 

On est frappés à la lecture de ces textes, inédits en français, par la finesse et la justesse de l'analyse  proposée par l'auteur.

 

(* "la naissance du facisne" par Ivo Andric. Traduit du serbo-croate par Alain Cappon. Préface de Jean-Arnault Dérens. Ed Non-Lieu, 12 euros)

 

Thierry Cayol

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 15:19

Ce 19 avril 2013 marque pour les Polonais un bien triste anniversaire. Il y a tout juste 70 ans, en effet, les troupes nazies prenaient le ghetto de Varsovie pour mater la révolte née six mois plus tôt.

 

A cette occasion, l'Insitut polonais de la mémoire nationale vient de présenter un exemplaire original du rapport du général SS Jürgen Stroop, commandant du ghetto.

 

Ce rapport, agrémenté de photos, explique de façon précise comment se sont déroulés la destruction du ghetto et les massacres qu y ont eu lieu. Il  avait notamment servi de preuve au procès de Nuremberg.

 

Pour commémorer ce dramatique 19 avril s'est ouvert aujourd'hui à l'emplacement du ghetto le Musée d'histoire de Juifs de Pologne. La façade de de ce bâtiment représente une déchirure symbolisant l'ouverture de la Mer Rouge par Moïse.

 

Ce musée s'est donné pour vocation de remplir un devoir d'éducation et de mémoire, tout en étant un lieu ineractif d'animations culturelles.

 

Thierry Cayol

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 23:13

Les pitoyables aveux de Jérome Cahuzac concernant ses comptes à l'étranger son impardonnable trahison envers le gouvernement, la classe politique et les Français apportent, s'il en était besoin, la preuve que François Hollande doit changer son fusil d'épaule.

 

Le Front de Gauche n'a cessé de le répéter -et ce bien avant la présidentielle de 1992-, les Français ne sauraient admettre que prédomine dans ce pays une gauche molle, quasi-sarkozyste, et qui plus est menteuse, preuve en est apportée aujourd'hui.

 

Avec moins de 30% d'opinions favorables, François Hollande n'a plus le choix. Il lui faut impérativement remettre le cap à gauche, ne plus reculer en ce qui concerne ses engagements de campagne et, pour ce faire, remanier purement et simplement le gouvernement en place.

 

Le Président de la République serait-il à ce point devenu aveugle pour ne pas réaliser que Jean-Marc Aurault et l'équipe qui l'entoure ne sont pas à la hauteur des espérances des Français ? Conservera-t-il durablement sa confiance à un Premier Ministre hautain et à mille lieues des préoccupations majeures du peuple qui l'a élu ?

 

Il est grand temps de changer de cap, de revenir aux valeurs fondamentales de la gauche, qu'elles relèvent du domaine social, juridique, écologique...

 

Nombreux (en tout cas près de 80%) sont ceux, à gauche mais aussi chez l'ensemble des Français, qui attendent une refonte en profondeur de l'image que renvoient les instances dirigeantes de ce pays.

 

Thierry Cayol

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 03:53

Elle n'y est pas allée de main morte, jeudi sur le Vieux-Port de Marseille, la petite ministre déléguée aux handicapés et à l'eclusion. La socialiste Marie-Arlette Carlotti, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, n'a pas envoyé dire au président du Conseil général, Jean-Noël Guerini, à Jean-David Ciot, le patron de la fédé des Bouches-du-Rhône, et même à son ex-copine Sylvie Andrieux ce qu"elle pensait d'eux.

 

Brandissant le glaive de l'honnêtteé en politique, Carlotti a lancé, sans les nommer, à ces trois tristes sires, traduits en,jusice pour abus de biens sociaux ou faux "je veux être maire de Marseille pour que cette ville reprenne goût à l'avenir. Le clientélisme, ça suffit". Affirmant vouloir "être maire à 100%, Marie-Arlette a prévenu: "je demanderai à mon exécutif de faire pareil.Les arrangements, les pistons, c'est fini.

 

Avec un discours aussi percutant, Marie-Arlette Carlotti (qui bénéficie notamment du soutien des deux ex-dauphins de Gaston Defferre, Michel Pezet, ancien président du Conseil Régional, et Philippe Sanmarco) a le vent en poupe. Même si elle sait qu'elle devra affrontter des primaires où elle sera opposée au député Patrick Mennucci, au président de Marseille-Provence-Métropole (MPM) Eugène Caselli et, surtout, à la sénatrice qui monte, la maire du 8e secteur de Marseille Samia Ghali.

 

En tout cas, au lendemain de la mise sous tutelle par Harlem Désir de la fédération du PS des Bouches-du-Rhône, on va bien rigoler. Le temps pour Jean-Claude Gaudin de faire ses valises. Lui qui est donné battu au second tour dans tous les cas de figure. Pis, il ne pourra compter sur l'appui de son ex-dauphin (devenu au fil des ans son ennemi le plus acharné), Renaud Muselier. Ce dernier s'est retiré de la vie politique (provisoirement, dit-on, laissant entrevoir un deal Muselier-Tapie) après avoir été balayé aux législatives par une certaine...Marie-Arlette Carlotti !

 

Thierry Cayol  

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 08:57

Ils ne sont plus que 30% de Français à faire confiance à François Hollande et à son gouvernement et on peut légitimement se demander où ils vont puiser cet enthousiasme.

 

Impôts, TVA, chômage, déficits, plans sociaux, croissance, retraites, salaires, nucléaire, cumul des mandats, taxation des plus riches.... Sur tous les fronts, Hollande s'est lamentablement planté ou a été contraint de reculer et d'oublier ses engagements pré-électoraux.

 

Vu de gauche (je veux parler de la vraie gauche, celle qu'incarne le Front de gauche, pas de celle qui nous gouverne et n'a de socialiste que le nom), on n'est guère surpris. Nous l'avons dit dès le départ, nous n'avions aucune confiance dans le programme du PS et de ses "alliés" écologistes.

 

Ce qui est moins compréhensible, c'est l'acharnement de la droite. Celle-ci ne rate pas une occasion de stigmatiser la politique du PS alors même que, ce dernier faisant l'inverse de ce qu'il avait promis, la droite devrait se réjouir et se satisfaire que Hollande fasse du sarkozysme sans même s'en rendre compte.

 

Thierry Cayol

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 16:32

Les partis sont-ils l'avenir de la vie politique en France ? Constituent-ils les seules structures susceptibles de rassembler autour d'une idée maîtresse, tout en favorisant la diversité d'idées nécessaire au bon fonctionnement de la démocratie ? En un mot, sont-ils à même de représenter les courants qui les traversent ?

 

Voilà des décennies que l'on nous dit que non, que la diversité va s'instaurer. Et pourtant, la vie politique tend toujours à s'organiser autour d'une dualité gauche molle - droite libérale, pour l'heure incarnée par le PS et l'UMP, à laquelle est venue s'accoller l'extrème-droite, au détriment de formations plus restreintes, telles que le Front de Gauche, le Modem, Europe-Ecologie ou des partis encore plus discrets comme le NPA (ex LCR), Lutte Ouvrière, la Ligue du Sud, pour ne citer qu'eux.

 

Il semble pourtant que les choses évoluent. A gauche comme à droite, les courants ont de plus en plus tendance à confisquer la parole aux instances dirigeantes, de moins en moins présentes dans le débat public, même si Jean-François Coppé ou Harlem Désir s'égosillent pour unifier leur troupes dispersées.

 

Il suffit pour s'en convaincre de se référer au formidable couac qu'a engendré l'élection du président de l'UMP. Aujourd'hui, fillonnistes et coppéistes se déchirent et s'insultent presque plus qu'ils ne le font lorsqu'il s'agit de s'en prendre à la majorité présidentielle.

 

Au sein de ce rassemblement de droite contre-nature, malhabile fusion du RPR gaulliste et de la libérale UDF, les "clubs" se multiplient aujourd'hui. Les amis de Coppé ont créé "Génération France", ceux de Fillon "Force Républicaine", Laurent Wauquiez tente d'imposer "la Droite sociale", NKM "la France droite", sans parler du jeune loup ex-FN Guillaume Peltier qui, avec Claude Guéant, tente de ratisser large (et sur sa droite) avec sa "Droite forte".

 

Au PS, ce n'est guère mieux. L'élection primaire (ouverte, rappelons-le, à tous les électeurs) qui a propulsé François Hollande à la candidature à l'élection présidentielle en dit long. Il suffit de se remémorer les noms d'oiseaux dont se sont affublés les prétendants à l'investiture.

 

Aujourd'hui au pouvoir, le PS doit encore faire face à des tensions, pour ne pas dire des scissions, qui en disent long sur l'homogénéité du parti. Depuis un an, les courants s'affirment, favorables ou opposés à la politique du gouvernement Ayrault. On trouve pêle-mêle des mini partis comme "la Gauche forte", "la Gauche durable", etc

 

De quoi en résumé s'interroger sur la capacité des partis politiques à assumer leur rôle dans une vie politique, que ne favorisent ni la crise ni le ras-le-bol des Français, mais qui semble en tout cas leur échapper.

 

Thierry Cayol

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 14:49

Le site Marocution refait surface sur le net à compter de ce mardi. Après une (trop) longue absence dûe à "des problèmes de force majeure", ce site ne se veut nullement un instrument de propagande en faveur du mouvement du 20 février 2011, mais une précieuse source d'iformation de proximité dans les régions de Tanger et Tétouan.

 

Fort d'antennes en Europe (France, Espagne, Belgique), le site est internationallement reconnu et cité par de nombreux médias à travers le monde.

 

Son sous-titre en dit long quant à sa vocation: "En fait, nous n'avons qu'une prétention, c'est de ne pas plaire à tout le monde. Plaire à tout le monde, c'est plaire à n'importe qui".

 

Bon vent et longue route.

 

Thierry Cayol

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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 13:49

Jamais une élection municipale à Marseille n'aura donné lieu à tant de supputations que celle qui se profile en 2014. On est loin, en tout cas des victoires quasi annoncées de Gaston Defferre, Robert Vigouroux ou, depuis 1995, de Jean-Claude Gaudin.

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Et cette fois la question n'est pas tant de savoir qui sortira vainqueur mais de savoir qui sera candidat ! Et l'on s'achemine, à droite comme à gauche, vers des primaires qui s'annoncent sans merci.

 

Dans les rangs de la droite républicaine, débarrassée de l'ambitieux ex-dauphin Renaud Muselier (qui a abandonné la vie politique après sa défaite aux dernières législatives et est parti se refaire une santé à l'Ile Maurice...), le choix final du porte-drapeau de l'UMP devrait se faire entre le charismatique Gaudin, hésitant face à la perspective d'un quatrième mandat mais apprécié bien au-delà de son propre camp, et le maire du 5e secteur de Marseille, Guy Teissier. A 70 ans passés (Gaudin en aura 74 l'an prochain), celui-ci veut incarner une forme de "renouveau" de la vie politique locale, minée par un clientélisme dont le journaliste et écrivain José d'Arrigo juge dans son dernier livre "Marseille Mafias" (editions du Toucan) qu'il gangrène la ville et est à l'origine de la plupart de ses maux.

 

A gauche, la concurrence est tout aussi farouche, si ce n'est plus. Trois candidats sont d'ores et déjà en lice au sein du PS: Le député Patrick Mennucci, Eugéne Caselli, moins connu des électeurs mais tout puissant président de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (MPM) et la très remontée élue des quartiers nord Samia Ghali, celle-là même qui a demandé le recours à l'armée pour régler le problème du trafic de drogue.

 

carlotti.jpgA ce trio déclaré, peut-être faudra-t-il bientôt ajouter Marie-Arlette Carlotti, la ministre des Handicapés, forte de sa victoire sur Muselier mais affaiblie par le bilan du gouvernement auquel elle participe et qui n'a de socialiste que le nom. Pour l'heure, l'ennemie jurée de Jean-Noël Guerini veut se garder de toute annonce prématurée de candidature.

 

Et puis il y a l'extrème-droite. Là, les jeux sembleraient faits et Stéphane Ravier, leader local du Front national, serait le candidat naturel à l'investiture. Si... Si ne se profilait l'ombre de Gilbert Collard. Elu aux législatives dans le Gard, à Vauvert, l'avocat marseillais apparenté FN n'entend certainement pas conserver à jamais ce surnom de "Diable Vauvert". Surtout lorsqu'on connaît l'ambition, la démesure affichées depuis toujours par Collard. 220px-Gilbert_Collard_-_salon_du_livre_de_Paris_2010.jpg

 

Reste que, pour l'heure, ce dernier se défend de toute vélléité marseillaise, dit vouloir se présenter "quelque part dans le Gard" et trouve que "Ravier est quelqu'un de très bien". N'empêche, l'auto-proclamé "casse-couilles" de l'Assemblée laisse entendre que si son amie Marine avait besoin de lui pour Marseille, il aviserait...

 

Enfin, il y a "l'Autre". Celui qui divise Marseille depuis qu'il y a mis les pieds pour la première fois, comme un messie envoyé pour faire de Marseille une capitale mondiale du football. Depuis, Bernard Tapie est devenu un mythe pour une partie non négligeable des Marseillais. Député, ministre de la Ville apparenté PS avant de devenir un pilier du sarkozysme, Nanar a indubitablement marqué les esprits. Mais cela suffirait-il pour devenir le maire d'une ville de près d'un million d'habitants où seuls l'adulent quelque 100.000 afficionados de l'OM. Et encore, les travées du Stade vélodrome ne sont-elles pas remplies de supporters partageant les mêmes opinions politiques.

 

images-copie-3.jpgC'est pourquoi on ne peut manquer de s'étonner de voir un sondage créditer Tapie de 40% des intentions de vote dans une ville qui en a par dessus la tête des magouilles, des trahisons et de l'argent sale. Là encore, la lecture du bouquin de d'Arrigo "Marseille Mafias" est édifiante. Mais, me direz-vous, la question d'une candidature Tapie ne se pose pas puisque lui même ne l'évoque pas. Mais j'ai passé près de cinquante ans à Marseille. J'y ai interviewé Tapie plus de cent fois et je sais que, dans sa bouche, un "non" vaut souvent un "oui" (ou l'inverse...)

 

Alors, quand on est, comme moi, radicalement de gauche, que peut-on espérer ? Qu'un sénateur en fin de parcours continue à tenir les rênes de la seconde ville de France ? Qu'un affairiste véreux ou un avocat aussi marron que vert-de-gris s'en emparent ? Qu'un socialiste bon teint achève de détruire ce qui peut encore l'être à Marseille ?

 

J'ai une autre solution à proposer, et je la soumet directement à Jean-Luc Mélenchon, en toute amitié: Jean-Luc, puisque tu n'en n'es plus à un parachutage près, viens donc poser tes valises à Marseille. Cette ville sinistrée a une grande soif d'hommes de ta trempe.

 

Thierry Cayol  

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J'ai notamment travaillé pour Le Provençal, Le Dauphiné Libéré-Vaucluse matin, Le Soir, l'AFP, TMC, France 3, Le Club de la presse Marseille-Provence-Alpes et l'Agence Reuter, où
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