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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 15:39

C'est à un bien curieux site d'information que les Marseillais sont invités depuis quelques jours, à grand renfort d'affiches et avec l'appui de France 3 Méditerranée, à se connecter pour bénéficier "d'une information de qualité, qui leur explique l'actualité et qui traite de sujets de fond"

News of Marseille, c'est le nom de ce site, se félicite de se tenir "loin des compromissions et des intérêts des uns et des autres". Son rédacteur en chef, le chroniqueur de France 3 Jeff Carias,explique "avoir une liberté totale", et assure que News of Marseille dispose d'une "indépendance financière".

 

C'est là que le bât blesse. Et même profondément. Car le fondateur et principal actionnaire du site n'est autre, par le biais de sa société SMA médias, créée en novembre dernier, qu'Alexandre Guerini, frère du Président socialiste du Conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guerini.

 

Jusqu'ici, rien que de très banal. Ce qui l'est moins, en revanche, c'est qu'Alexandre Guerini a été contraint de confier la direction de la SMA à sa compagne, Jeanine Peretti, pour la bonne raison que ce bon Alexandre croupit depuis plusieurs semaines à la prison de Luynes, où il a été incarcéré pour "détournement de fonds publics, recel et blanchiment, trafic d'influence, abus de biens sociaux, corruption active et détention d'arme".

 

  Autant de délits au sujet desquels  son frère Jean-Noël jure ses grands dieux qu'il n'était "au courant de rien". Le président du Conseil général a beau se dire "confiant" pour les élections cantonales, il est (comme d'autres élus socialistes) dans le collimateur du juge, et son électorat potentiel fond comme neige au soleil...

 

Quelle idée, aussi, que d'avoir un frère voyou quand on brigue la succession de Jean-Claude Gaudin à la mairie de Marseille !

 

(Petite précision qui s'impose: Contrairement à ce qu'ont véhiculé certains organes de presse, Jean-Noël et Alexandre Guerini n'ont absolument aucun lien de parenté avec d'autres Guerini, Antoine et Barthelemy, dit "Mémé", qui ont régné en leur temps sur la pègre marseillaise).

 

Thierry Cayol

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 01:24

Comme il le fait chaque année, le Press-Club de France a décerné ses palmes aux hommes et femmes politiques dont les citations resteront à jamais dans la mémoire collective. L'année dernière, la première place avait été attribuée à Bertrand Delanoë pour ce propos historique et plus que jamais d'actualité: "le vrai changement au PS, ce serait de gagner". 

 

Ségolène Royal, toujours aussi niaise, aurait pu prendre la tête du  classement 2010 avec cette phrase choc: " c'est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j'ai besoin de les dire". Une déclaration qui, c'est le moins qu'on puisse dire, laisse pantois venant de la part d'une candidante déclarée à l'élection présidentielle de 2012.

 

Mais le Press-Club en a décidé autrement, laissant Ségo et ses délires près-électoraux à la dixième place de son classement. La palme revient à Eva Joly pour sa déclaration "je connais bien DSK...Je l'ai mis en examen!"

Les propos de Joly ne font toutefois guère d'ombre à Frédéric Mitterrand, qui a exprimé toute la dimension de son angoisse ministérielle en déclarant benoîtement "Quand on m'appelle Monsieur le Ministre, j'ai toujours l'impression que Jack Lang va surgir derrière moi". Chose qui au demeurant ferait peut-être bien plaisir au nouveau Ministre de la Culture...

 

Une autre citation qui restera dans les annales (aucun rapport avec ce qui précède...), celle de Laurent Fabius, candidat à l'investiture au PS: " Je ne suis pas une pom-pom girl de DSK". On aurait pourtant pu le croire, de la même façon qu'on aurait pu croire en la sincérité de Patrick Balkany lorsqu'il a déclaré "je suis l'homme le plus honnête du monde". Ben voyons...

 

L'assurance de Balkany paraît toutefois au moins aussi  crédible que celle de Rachida Dati, lorsque l'ancienne Garde des Sceaux déclarait il y a peu "je n'ai jamais cherché à attirer les médias " ou  celle de Bernard Kouchner lorsqu'il affirmait "j'ai bien songé à démissionner, mais je n'ai pas voulu déserter".

 

Une façon comme une autre d'interpeller le PS quand à un retour au bercail du "french doctor". Pour tout dire, Kouchner aurait été prêt, pour être reconnu, à entrer par la petite porte dans les gouvernements de Ben Ali ou de Moubarak.

 

Mais la trahision se paie toujours d'une façon ou d'une autre. Et, il faut bien le dire, Kouchner n'est plus aujourd'hui que l'ombre de lui-même, et l'Histoire retiendra éventuellement qu'il est le compagnon d'une ex-star de la télévision. Et dire qu'il envisageait il y a quelques années d'être président de la République!

 

De quoi inciter Besancenot et Mélenchon à réver que "peut-être"...

 

Thierry Cayol

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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 04:20

Il y a quelques semaines, nous vous parlions des traditionnels numéros spéciaux des journaux qui font le point sur l'année écoulée et dévoilent leurs perspectives pour 2011.

 

Nous nous étions longuement arrêtés sur les "spéciaux" de Marianne et Politis, qui ne font de cadeaux à personne (et surtout pas au régime en place).

 

Aujourd'hui, c'est au tour de Rue89 d'éditer son "spécial", sobrement mais explicitement intitulé "Best of 2010"et sous-titré "le meilleur, le pire, et la suite..."

 

En 114 pages, le mensuel se penche sur tout ce qui s'est passé d'mportant en 2010 et y ajoute sa "boule de cristal" et ses pronostics pour 2011.

 

De page en page, on revit les événements de 2010 et la façon dont Rue89 les a abordés, nombreuses photos à l'appui  .

 Ainsi revit-on le problème de l'identité nationale soulevé au mois de janvier, les aveux, le même mois, de l'assassin de Pierre Goldnann ( le demi-frère de l'autre, pour ceux qui ne connaitraient pas l'affaire) Toujours en janvier, Rue89 ouvrait le débat sur Google "ça vous tue où ça vous sauve ?" et sur le double salaire du PDG d'EDF, Henri Proglio.

 

Pour le mois de février, Rue89 s'introduit chez "Botul, nouveau philosophe". Le journal soulève le problème de la garde à vue des mineurs au travers le cas d'une gamine de 14 ans, et (dans un autre ordre d'idée) il revient sur un entretien très intéressant que lui avait accordé un des leaders de l'oppostion italienne, Beppe Grillo, pour qui "e pericoloso Sarkozy". Tout un programme.

 

Et il en va ainsi de page en page, de mois en mois. Aucun sujet d'actualité n'est "placardisé". Et c'est toute la force de Rue89: avoir su, en à peine plus de cent pages, faire un tour d'horizon quasi complet de ce que fut 2010.

 

Mais la cerise sur le gâteau, c'est les prophéties de Rue89 pour 2011. Ca vaut le coup dy jeter un oeil. Ne serait-ce que pour savoir pourquoi la réelection de Sarkozy ne relève plus du tout de l'utopie, comment Tapie va racheter le PSG (les pauvres !) et pourquoi l'audience de TF1 va dégringoler...

 

Je n'en dirai pas plus sur ce supplément pas commes les autres, qui mérite bien qu'on lui consacre 3,5 euros. Courez l'acheter !

 

Thierry Cayol

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 23:24

Comme chaque annee à la même époque, les journaux satiriques ou du moins engagés, y vont de leur supplément tout en dessins, récapitulatif de l'année écoulée.

 

60238455 pA lire absolument: le hors-série de "Marianne", presque essentiellement voué  à démolir un peu plus le souffre-douleur attitré du trio Kahn-Szafran-Julliard.

 

 

La une de couverture parle d'elle-même: "2010 A droite toute" titre l'hebdo, représentant un  Sarko avachi, les mains dans les poches et affublé, en guise de cravate, d'un bol sur lequel on peut lire "Meilleur président du monde".

 

Les dessins de Tignous et Gros, entrecoupés de commentaires des journalistes de "Marianne", refont l'histoire de façon carricaturale d'une année dans le monde, sans jamais perdre de vue  Sarko, présenté dans l'éditorial de Joseph Macé- Scaron comme"just a rigolo".

 

Sarko n'est guère plus épargné lorsqu'on le voit, écarlate et mains tremblantes, s'exclamer "je sauve la France, l'économie, le capitalisme, la paix, le climat..et maintenant le PS ? J...j...ne contrôle plus mes pouvoirs !". Ailleurs, on peut voir le président soulever son petit fils et se lamenter "il me crie dessus! c'est une réincarnation de Séguin !".

 

On pourrait s'attarder sur d'autres dessins, comme celui où, évoquant la suppression des "niches fiscales, Sarko se réjouit en rappelant "on a déjà commencé avec la voiture de Dati !

 

Mais le mieux est que vous vous precipitiez chez votre marchand de journaux pour vous procurer ce supplément (au prix modique de 6 euros).

 

Plus éclectique et tout aussi drôle est le supplément de1-90-b1f73 "Politis" (5,50 euros) dont la une intitulée "2010 horribilis", nous présente, côte à côte, devant Fillon se bouchant les oreilles, Sarkozy masquant ses yeux (ce qui, au passage, lui permet d'arborer sa Rollex) et Chirac mettant ses mains devant sa bouche. Alllusion, bien entendu à Kikazaru, Mizaru et Iwazaru, les trois singes de la sagesse, issus de la mythologie chinoise.

 

 

Sous le pinceau d'Aurel, la talentueux illustrateur de "Politis", tout le monde en prend pour son grade. Sarkozy, bien sûr, que l'on voit s'incliner devant la tombe du Général De Gaulle, avant qu'une voix venue du ciel lui lance "casse-toi, pauv'con !",

 

Pauvre Sarko, que l'on voit se raser en sifflotant tandis que le miroir de sa salle de bains lui renvoit l'image de Jean-Marie Le Pen , ou encore lorsque, juché sur un tas de seringues, il se félicite: "l'épidémie de grippe A a été bien gérée!"

 

Aurel n'a pas fait de Sarko l'unique victime de ses dessins, à commencer per Eric Woerth, authentique héros malgré  lui de cette année très agitée et qui, trainant un lot de casseroles, assure "je suis un homme qui aime cuisiner" ou encore les retraites, " les travailleurs les plus usés sont priés de mourir avant". Traitement tout aussi ostentatoire pour Balladur qui, ici figuré sans cravate mais affublé de bas-résille jure que, s'il a pu donner 10 millions pour sa campagne présidentielle, c'est qu'il a su donner de (sa) personne....

  

On peut voir également Sarkozy reprendre de volée Brice Hortefeux :  "Mais enfin, Brice, on ne peut pas déchoir de la nationalité française tous les types qui se tapent plusieurs femmes !" Ce à quoi, quelque peu géné, le ministre de l'Intérieur  répond, presque suppliant : "juste les Arabes"... (Notons tout de même que le hors-série de Politis" est paru avant les déclarations fracassantes de Marine Le Pen contre les Musulmans).

 

Sur la même page Sarkozy et Hortefeux apparaissent en plein accord, concernant le sort réservé aux gens du voyage: "Il faudrait leur demander de porter un triangle rouge sur leur veste, pour qu'on les reconnaisse". Aurel ne sy trompe pas lorsqu'il fait dire au  Président de tous les Français "50 ans après la mort d'Albert Camus, la Peste combat l'étranger..."

 

Le Pen, Maurras, Laval ou Céline n'auraient pas trouvé de mots aussi explicites.

 

Villepin a droit aussi aux foudres de "Polititis" lorsqu'il lui fait dire à sa femme de ménage (noire) "avec moi, pas de karcher. vous passerez juste un coup  d'aspirateur, et ça ira..

 

Et la gauche dans tout ça ? Il fallait bien que Politis s'en prenne un peu au PS , tout de même. Mais bizarrement, ce n'est pas à Simplette Royal , mais directement à la  patronne, le chef d'oeuvre en péril du socialisme mondain, Martine Aubry que Politis fait dire : "  si on repousse pas l'âge de la retraite, on n'aura bientôt plus personne au Parti". Et toc !

 

Le supplément de "Politis" aborde également pêle-mêle tous les sujets qui ont passionné les Français en 2010: l'inconstance de Kouchner, la pétition de 450 scientifiques contre Allègre, la fin progressive de l'enseignement de l'histoire-géo, la remise en cause de la contraception, l'interdiction de la Burqa, et, hors de nos frontières, le malaise qui secoue l'Europe ou encore la seconde mort annnocée de la Grèce. 

 

 

Thierry Cayol 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 03:30

I

Il est toujours difficile de voir des artistes de talent quitter la scène...

 

NOIR DESIR a été un groupe mythique. Certes, pas autant que TELEPHONE, mais il a été, durant près de 30 ans une référence pour deux générations au moins.

 

Et puis il y eu l'affaire Cantat, meutrier de Marie Trintignant D'aucuns diront qu'il a payé sa dette et qu'il est aujourd'hui un homme libre.

 

Fallait-il pour autant qu'il ait l'indécence de remonter sur scène , de se faire acclamer par un public qui lui est resté fidèle, sous les yeux de Jean-Louis et Nadine Trintignant ? Ce retour en grâce a quelque chose de malsain et d'inacceptable.

 

 Durant sa détention, les autres membres du groupe ont soutenu Bertrand Cantat. Mais il a fallu bien vite se rendre à l'évidence, rien ne serait plus jamais comme avant.

 

 

 

 Alors, sans jamais faire directement référence à Bertand Cantat, le guitariste Serge Teyssot-Gay et le batteur Denis Barthe ont choisi de mettre fin à l'activité du groupe.

 

Barthe a été le seul à parler "d'indécence", sans d'avantage entrer dans les détails.

 

La dissolution annoncée, prévisible, de NOIR DESIR revêt une dimension morale, n'en déplaise aux fans du groupe

 

Noir-desirLes musiciens de NOIR DESIR n'auront certes pas de mal à se recaser ailleurs. Mais qu'adviendra-t-il de Bertrand Cantat ? Y aura-t-il un producteur pour l'accompagner dans une nouvelle carrière, en solo, cette fois ?

 

Il faut savoir tourner la page. Bertrand Cantat a été, il n'est plus. Plus rien. A peine un homme. Et ce malgré son réel talent. Je le plains, même si je trouve ignoble le geste qui l'a envoyé en prison et le fait qu'il ait osé remonter sur scène.

 

Alors "la musique est en deuil" a-t-on pu entendre. Et la famille Trintignant, ne l'est-elle pas au moins autant ?

 

Thierry Cayol 

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 01:06

La constitution ne prévoit pas qu'un journal puisse être candidat à l'élection présidentielle, et c'est bien dommage. "Marianne" eut vraiment fait l'affaire.

 

Déjà très virulent de par ses prises de position, l'hebdmadaire s'est assuré les services de Jacques Julliard, véritable homme de Gauche s'il en est .

 

"Il est grand temps que la Gauche cesse d'être moraliste.Il est encore plus grand temps qu'elle devienne morale" écrit en exergue Julliard dans son éditorial du récent numéro de "Marianne".

 

L'ancien chroniqueur du "Nouvel Observateur" est venu à la demande de Jean-François Kahn, Maurice Szafran, et Eric Conan, redonner de la vigueur à l'équipe de "Marianne" qui, juqu'ici et malgré son contenu, hésitait à s'afficher comme LE journal de la nouvelle Gauche.

 

Julliard n'y va pas de main morte, tout en reconnaissant qu'il a "un peu le trac" à l'idée d'être d'une certaine manière, le nouveau maître à penser du grand hebdomadaire créé en 1997 par Jean-François Kahn.

 

L'arrivée de Julliard a réellement donné un nouveau souffle à l'équipe de "Marianne". Il suffit de lire ce qu'écrit Maurice Szafran, qui brise tous les tabous. Parlant de Ségolène Royal, Szafran proclame -"la gourde, une nouvelle fois a frappé."  Et d'évoquer -" le retour en fanfare de Ségolène Royal, cette carricature d'institutrice sévère qui enrage tant la gauche convenable, la gauche qui attend le pouvoir comme s'il s'agissait d'un dû".

 

Même François Hollande, ex-concubin et aujourd'hui rival de Ségo, n'aurait osé la traiter publiquement de la sorte.

 

Szafran s'en donne à coeur joie pour dénoncer "l'unité retrouvée des socialistes, à laquelle, notons-le, pas un Français ne croit (...) puisque le PS n'a toujours rien élaboré de crédible, de réformateur, de novateur qui puisse ouvrir des perspectives".

 

Szafran pose LA vraie question: "il s'agit de battre Sarkozy, de rassembler pour celà une large majorité. Qui sera en mesure d'assumer ce rôle ? Qui au PS, ou en dehors du PS ?"

 

Comment ne pas être d'accord avec Szafran, lorsqu'il appelle, une fois encore, à un "vaste rassemblement des Républicains, par l'élaboration de projets ambitieux".

Pour notre part, nous sommes enclins à être d'accord. A ce détail près que nous sommes persuadés que la victoire n'est possible que si le PS explose, et que les "vieux de la vieille" fassent à jamais leur valise. Aubry, Royal, DSK, Fabius , Hollande et les autres "patrons" de ce qu'il reste du PS, doivent comprendre la nécessité de laisser la place.

 

La relève, si l'on s'y prend bien, est assurée. Montebourg, Bové, Mamère, Hamon, Badinter, Mélechon, Rocard, Besancenot, Taubira,  Cantona (si, si) Halimi ou encore Bayrou et quelques autres, sont en mesure, par le biais d'une alliance (aujourd'hui encore aléatoire) de balayer Sarkozy et la mafia qui l'entoure

 

L'élection présidentielle n'est pas loin, il est temps de se bouger!

 

Thierry Cayol 

 

 

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  • thierry cayol
  • Journaliste marseillais exilé dans le Tarn et Garonne. 51 ans.
J'ai notamment travaillé pour Le Provençal, Le Dauphiné Libéré-Vaucluse matin, Le Soir, l'AFP, TMC, France 3, Le Club de la presse Marseille-Provence-Alpes et l'Agence Reuter, où
  • Journaliste marseillais exilé dans le Tarn et Garonne. 51 ans. J'ai notamment travaillé pour Le Provençal, Le Dauphiné Libéré-Vaucluse matin, Le Soir, l'AFP, TMC, France 3, Le Club de la presse Marseille-Provence-Alpes et l'Agence Reuter, où

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